
TOP (Textile Conversion Process)-atelier est arrivé à la moitié de sa période de recherche. D’ici à la fin décembre 2020, nous espérons pouvoir conclure avec un plan d’affaires rentable et un outil en ligne qui aidera les futurs designers à développer leurs produits fabriqués à partir de flux de déchets textiles.
Nous savions dès le départ que de nombreux défis se présenteraient en cours de route. Après tout, ce projet nécessite l’élaboration de nouveaux processus dans les différentes phases de la production. Du tri au lavage, en passant par la découpe et le traitement. La motivation et la passion des différents partenaires et designers font que nous sommes toujours à la recherche d’alternatives et de solutions aux problèmes difficiles.
Au cours des derniers mois, par exemple, nous avons constaté qu’il n’est pas du tout évident de mettre au point le processus d’ajustement des flux de résidus textiles. Après tout, il faut tenir compte des différents Kringwinkels où le matériel source aboutit, où il est collecté et d’abord trié, puis finement trié selon les critères spécifiques des designers.

Aujourd’hui, nous sommes allés avec TOP-atelier rendre visite à notre nouveau partenaire Ecoso, à Malines. Ils sont synonymes d’entrepreneuriat écologique et social et, en tant que centre de tri, ils veillent à ce que les matières premières soient assurées pour TOP-atelier. Ils considèrent qu’il s’agit là d’un test parfait pour atteindre l’un de leurs objectifs, à savoir la réduction de la quantité de déchets textiles. A la fin de TOP-atelier, ils veulent avoir développé un système structurel dans lequel le tri pour d’autres designers sera également possible.
Fin janvier, nous attendons le premier grand chargement de chemises d’homme pour La Gadoue, Paule Josephe et Studio AMA et de jeans pour Tropas qui partiront pour la laverie De Reu.